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14 juillet 2009 2 14 /07 /juillet /2009 07:29


http://solidechanges.over-blog.com/article-32922263-6.html


Dans cette longue réflexion...d'apparence philosophique, non dénuée d'intérêt, je m'exprimerais de façon progressive, volontairement en termes simples, imagés, (en évitant souvent les références "quantitavives"; de liens, de chiffres, de "penseurs" célèbres , ect)... et surtout  l'article n'a pas pour but de prendre une position déterminée excluant les autres, en se servant de critiques sur "un tel" ou "autre tel" ; (une religion qui serait meilleure par rapport à une autre), de façon subjective, d'autres personnes le font très bien sur leur blogs "à audience", sites, "proclamant" avec autoritarisme  une vérité précise ! Je pourrais de manière très facile "m'amuser à ce jeu" pour démontrer rapidement une théorie, mais je trouve cela  mesquin, de se positionner de cette manière là, c'est mon avis. Je préfère privilégier la réflexion, ce qui permet de prendre de la distance pour comprendre (possible prise de conscience). Mes écrits peuvent "séduires" ou déranger ceux qui ne seront pas d'accord; (les personnes point disposées  peuvent passer leur chemin "cool", puisque je ne pratique pas, contrairement à d'autres blogs, la provocation, volontaire, ça va de soi)... Je ne suis pas athée, ni catholique, ni de religion musulman, ni Juive, ni Boudhiste, ni protestante, ni faisant partie de ramifications évangeliques multiples, ni de sectes diverses, ni de ce que l'on appelle sectes, et encore moins ce particulier mouvement évolutif,  qui peut sournoisement tromper tout le monde (parce qu'il s'immisce dans tout, étant multiforme); "le New-age" .  Le discernement est une de mes qualités, (quand aux défauts, j'en ai trop!...)  En ce qui me concerne je suis assez croyante de nature
,  disons  que si j'étais obligée de me définir, ce serait comme une personne gnostique, chrétienne,  (je fuis aussi la banalisation du mot "Maître" à tout bout de champs) ...            "Bon vent à tous"                        (Vérena)

De multiples religions, qui se rassembleraient (sans perdre vraiment leur origines), sous l'égide d'une seule, et qui pouraient voir le jour dans un proche futur??
Telles des tentacules animées, et indépendantes qui malgré tout seraient rattachées à la composante d'une pieuvre....
Alors, si tel était le cas, que serait cette "pieuvre", qu'elle serait son identité? sa composition exacte, ses racines et motivations profondes véritables!!?  
c'est ce que nous verrons plus loin.
.UNE AUTRE IMAGE QUE LA PIEUVRE;
Voyez l'arbre; un seul arbre pour vivre, possède ses propres racines, la sève qui coule dans ses nervures, ses branches vivantes, rend possible la vie, grâce à ses propres authentiques racines... et si par exemple, ses racines sont malades, (ex, si le terrain est contaminé), il le devient aussi, (en témoigne des feuilles). L'arbre possède un corps central; le tronc qui tient en terre grâce à des racines, de celui-ci partent des branches (toutes différentes des unes des autres en tailles et formes). Les branches sont les diversités des religions, bien sûr, certaines sont plus avantagées que d'autres, mais leur point commun sont....la même race de  feuilles, grâce et à cause du tronc commun (dont elles n'ont pas entièrement conscience, tout "en le sachant")..


L'EAU EST A LA VIE PHYSIQUE AUSSI NECESSAIRE , CE QUE L'AMOUR EST A L'EVOLUTION DE LA VIE SPIRITUELLE;
Au dessus photo du Dan , un des affluants du fleuve Jourdain, ce dernier s'assèche ensuite vers l'aval, à cause des industries.



Ce fleuve chargé d'une histoire "sacrée", le Jourdain, subit le déssèchement.






L'origine du mot "religion"
Ce mot dérive du latin "religio"signifiant; ce qui relie, rattache (et lie la morale à..., dans le sens aussi de retenir la conscience). Ce terme était aussi utilisé par les Romains  avant J.Christ,  désignait le symbole de  culte démoniaque. Le mot "religio" est controversé depuis l'antiquité, l'origine  semble venir aussi de la forme ...."relegere"; (rasssembler, revoir avec grand soin) ou "relegare" (relier).

Il semble bien de toutes façons, de toutes époques, en tout endroit du monde, que le domaine religieux (forme extrèmement structurée de lois et morales humaines rajoutées  sur le temps de l'histoire, selon les époques politiques, et mélangées à des préceptes Divins, issus d'une origine (indirecte/directe),  est complètement relié "aux affaires" de ce monde, de la société: les preuves historiques de tout siècles en font témoignage. Qu'elle que soit la religion; Catholique, Musulman, Boudhiste, et toutes les autres, nombreuses, (sans compter les groupements religieux nommés sectes; (mais du fait de leur moins grandes étendues de groupements, leur relations sociétaires/religieuses sont alors percues de manière plus isolées subjectives et potentiellement inquiétantes, dérangeantes,voir possiblement dangereuses, car minoritaires confondues parfois avec des "mouvements"ou des "réseaux", on retrouve à l'origine de nombreuses contradictions.

Hors, les "affaires de ce monde", de cette société marchande (qui ne date pas d'aujourd'h'ui, les formes ont simplement changées), n'ont rien en commun, de loin comme de près, avec les préceptes Divins, l'influence Divine "Dieu", (Puissance Créatrice Incommensurable). Mais, véritablement, les religions ne sont pas une illusion car elles se sont construites simultanément et sur le temps, à partir d'une empilation de faits historiques  religieux exacts, (de vérités) et à la fois inexacts, erronés; à cause de grande confusions, de "non dits" et de ce qui a été retranché volontairement (mis de côté); (la vérité de certains faits), et par rapport à de volontaires ou involontaires méprises, ou de "faux secrets"... Oui, hélas, car le processus et les procédés sont les mêmes que ceux des politiciens. Globalement, l'institution religieuse errigée, reconnue, est issue des grandes voies de ce monde, issue de conflit à l'origine, "c'est une politique", les autorités humaines religieuses de par leur gouvernance, ont la même manière (mais pas la même forme) "stratégique" et "tout à fait honorable" de mener un ou des peuples, que les autorités politiques!.
Mais, "le bon grain ne croît-il pas avec l'ivraie"?!... ceci est une réalité dans tout les domaines de l'existence, à tout les degrés,  jusqu'au individus qu'ils soient riches ou pauvres.








le pape en Palestine / Le Dalai lama en échange avec G. Bush







                                                     L'ayatollah Ali Khamenei, "guide Suprème de l'Iran"...          


1°/ Dans un proche futur  serait-il possible, tel que le monde est aujourdh'ui et dans son évolution, (donc dans une continuité très particulière) que s'harmonise entre elles les religions actuelles (en une seule grande religion-"sociale-politique"), calquées sur une gouvernance politico-religieuse  mondiale; (le Nouvel Ordre Mondial politique) révélé et espéré aujourdh'ui par de nombreux dirigeants, dont certains ont commencer à parler fermement depuis 2005 et 2007 seulement, (à commencer par le président Bush, N.Sarkozy)... et Obama.

2°/ Ou alors ce monde proche, futur, n'est -il possible qu'avec "une Vraie rupture radicale" (surtout pas dans une continuité), de tout ce qui entrave le respect de la Vie, de l'Amour fraternel ?(tout cela au sens absolu)  (et dans l'idéal; afin qu'émerge une vraie renaissance, une sorte de nouveau monde, et ou la souffrance, l'ignominie (mentale et physique), "les ordures de la ménagère" ne seraient "pas cachées" sous les meubles et le paillasson, pour que le reste paraisse propre!).

Les diverses branches religieuses tendent à vouloir exprimer "quelque chose" qu'elle ont apparemment en commun; l'Amour!...;  l'amour sincère, le respect du prochain (des uns des autres), la Paix,  le PARTAGE, (l'inutilité de la superficialité et de la destruction), le non sens de la division et de la guerre...  Mais paradoxalement c'est le contraire qui a lieu; "on perd sa foi" souvent chaque fois,  comme couplé dans une forme relationnelle calquée  avec les intérêts de la domination spéculative, des pouvoirs politique, et de hautes puissances, qui dirigent les nations, tout "en ayant l'apparence de la piété" pour le coté communion religieuse, "mais reniant (dès l'opportunité), ce qui en fait la force"!

Pie XII...

                                                                       prêtres et nazis    



                      





Les divisions perpétuelles, hélas, indiquent néanmoins que tout est en constante et "nécessaire" évolution
;
Chez les êtres vivants (et organismes), ce ne sont que:biologiquement psychologiquement, physiquement; spirituellement, de permanentes divisions nées d'une composite, (ou l'inverse)....on le constate aussi avec les plaques tectoniques de la croûte Terrestre...tout bouge, qu'on le souhaite, ou pas, c'est une  Loi de Vie (une sorte de Loi Divine), propre à l'évolution qu'elle qu'en soit la couleur...partout, jusque dans l'Univers incommensurable et celui mesurable... en fait, parce que tout est continuité parce que mutable.

Les peuples qui sont divisés entre eux et adeptent de religions différentes, les individus d'un même peuple, tout autant divisés entre eux et issus de diverses croyances...aspirent à la légitimité de leur état, à la paix (à leur paix), d'une manière ou d'une autre. Tout ce monde, qui est d'ailleurs poussé dans sa vie quotidienne et sociale, souvent sous pression, à rechercher une forme de protection; protégeant sa vie (et celle des proches) et une sécurité durable,  espère au moyen (logiquement le plus facile) d'accéder à une autorité de paix réelle et d'opulence, de bien être. Oui pratiquement tous!...mais le problème..."l'aspiration" à cet état ne se constitue pas de la même manière, selon les croyances ou non-croyances, ou les morales idéologiques des individus provenant de divers milieux! Les consciences sont trop réduites pour cela.  Le constat; les religions instaurées, n'ont toujours pas de nos jours, amener une paix, qui soit durable dans leur propre pays, ni sur l'ensemble de la planète, ni par les diverses institutions religieuses ou politiques, ni par  des fidèles croyants, ni les incroyants.



UN SIMPLE CONSTAT
Et peu à peu aussi, "on" (certain individus et institutions) ont admis dans la religion, que la foi pouvait ne pas être pratiquée dans son quotidien, "hors pratique-hors vivance"; simplement par la pensée,  "la foi est quand même là, car "on appartient" (par la tradition? ou la génétique??) à "une église"...même si on se contente vaguement de croire mentalement, ou assidumment par pure tradition, l'important c'est de se contenter de respecter un peu le dogme"!. "Vive la vivante foi"!? c'est ainsi que, par exemple, on a eu l'habitude d'entendre et de voir qu'être de confession catholique pouvait être "une pratique ou pas"! (pratiquant ou non pratiquant)?... est demandé presque partout, jusqu'à des agences et sites de rencontres (bien sûr ce n'est pas vraiment obligatoire). C'est ainsi que le fait de porter sur soi une croix de façon flagrante et fantaisiste (catholique-romaine ou égyptienne), a pu devenir une simple mode à la fois décorative, esthétique, sugestionnant sans engagement de son être, l'appartenance probable à un courant de pensée...ce qui est semble être esssentiel, car l'individu ne renie pas le symbole de la croix! (la croix qui existe pour les tortures romaines et cultes égyptiens, bien avant la venue de J.Christ).
On peut remarquer, issu des courants religieux (aussi bien que non religieux), très souvent un manque de tempérance et de discernement, et, en conséquence ce ne sont plus que DES EXTREMES QUI S'OPPOSENT, qui se répondent, un petit exemple; (en fait c'est..."l'arbre qui cache la forêt");  l'insistance du port du voile, et de la burqa pour les femmes - en face, [en France et parties de l'Occident] comme réponse se dresse une autre extrème, le Non, pas question!.... la réponse radicale du pape concernant le préservatif (le non) - face à une autre extrème; le problème du Sida et les modes de vies des gens qui n'évoluent plus du tout avec les mêmes repères qu'avant, puisqu'ils ne trouvent plus dans les traditions inculquées parfois aveuglément des réponses à leur questions intérieures...
Très souvent une position qui se durcie (non pas sans raison), en amène en réponse une autre extrème....et ainsi de suite....Les véritables germes engendrant des conflits et divisions, ne font pas (et ne peuvent pas faire) l'objet au préalable d'une attention, discernement, réflexion nécessaire, tout simplement parce que ce n'est "pas possible" (tout du moins dans notre ère)...(
si cela avait été le cas; le monde aurait évolué d'une manière paradisiaque, sans obstacles, sans conflits, sans maladie, et donc avec une autre conscience) 
Pour résumé:
 Les nuances de tons n'existent pas dans tout "ces régimes."...Sauf si le  "Dieu" des multiples religions  a décidé de pardonner...et c'est de cette manière que fonctionne les institutions religieuses (de manière qui parait bien détournée, tout "en utilisant" "Dieu", "l'Incommensurable", à toutes les sauces), ("Dieu" pallie à ce qu'elles sont incapables de gérer à la base (alors que le germe, la source, "la vrai foi solide", c'est ce qu'il y a de plus important), ...
et pourtant elles enseignent, elles ont une grande autorité de pouvoir, institutionnelle sociale-politique, (et religieuse)... ces deux domaines (religieux/politique) à une certaine époque, dans le monde, en France, semblaient très liés de manière précise, bien que séparés; l'autorité politique était subordonnée à une autorité religieuse (en violences physiques et aussi morales) . De nos jours, la distinction qui montre d'un coté le religieux, et de l'autre le politique n'est qu'une réalité purement apparente, il est évident de s'appercevoir, combien de multiples liens subtils,complexes relient ces deux ensembles... c'est comme  si ils étaient fondus... "étrangement" mélangés!

Etats-Unis; c'est "sa Sainteté": le Pape










M. Ahmadinejad et le "guide Suprème" Ali Khamenei sur toile de fond                                                  
                                                        "voile et drapeau"







           
                                                                                                      Boudhistes                              
                                                                                                

"Vous remarquerez que je fait la différence entre les personnes qui composent "un peuple de fidèles, croyants", et les dirigeants religieux...car en effet ce n'est pas tout à fait la même chose... une majorité de dirigeants agissent, enseignent "en toute connaissance de cause" (normalement ils en sont censés). Au peuple il lui est demandé de "faire confiance dans la foi", il n'a pas la responsabilité réelle de l'enseignement, mais il a la sienne envers ses proches, les autres, sa propre conscience, et libre à lui aussi d'admettre ou pas complètement, (ou pas du tout) ce qu'une  hierarchie précise religieuse va indirectement lui sugestionner, lui transmettre, libre à lui  de chercher de-ci  de-là "des pièces"  historiques d' époques, tout en prenant son temps pour en faire des comparaisons, synthèses; (cela vaut mieux si on est épris de vérité, de toutes façons, cela fait partie d'un tout; c'est une question d'état d'esprit, de nature). Mais le plus important n'est pas dans l'intellectualité, mais dans le coeur, un "vrai" coeur, une véritable tolérence, une Foi pas aveugle! J'ai rencontré  et croisées des personnes "adorables" dans ma vie, avec qui je ne  partageais pas tout à fait les mêmes opinions, mais ce n'était pas le plus important pour moi, car il y avait une telle gentillesse naturelle, dynamique, et vraie pudeur (humour), (le courant passait) qu'en fait cela rejoignait ce que je ressentais, et du coup; hop! envolées les barrières, pas d'hypocrisie, pas de conflit, pas de grandes paroles,! mais de l'amour fraternel simple, et cela même sans qu'il n'y ait à aucuns moments de discussion  sur des fondements d'ordre religieux, ou idéologiques ou politiques ... nous sentions pourtant que nous étions sur des cheminements un peu différents... mais LES DIFFERENCES N'EXISTAIENT PAS , car  il y avait du respect,  de la tolérance tout simplement .



UNE PAIX GRACE A LA FORCE?
Puisque les institutions religieuses et politiques sont (c'est une réalité), bien plus qu'étroitement liées qu'on ne le pense,(je pourrais citer beaucoup d' exemples, mais cela donne "des hauts de coeur"), et que les dirigeants politiques ne cessent ouvertement de nos jours (alors que c'était déjà une espérance établie "comme plan" juste avant le XX ème siècle), de prôner un "Nouvel Ordre" social Mondial, (la banque mondiale est déjà prête), qui rétablierait une SEULE sorte d'Ordre sur Terre, un vrai ordre et pour une Paix (universelle)...en même temps, les Etats et grands banquiers n'ont jamais autant fait commerce  pour les dépenses de l'armement! Quand à l'ONU, en tant qu'organisation, elle est plus qu'un symbole, elle est positionnée pour exercer le contrôle de la santé, de la justice, des armées, des grandes Banques, de l'agriculture...ect..En effet, l'Organisation des Nations Unies concentre peu à peu, et depuis des décennies,chaque jour un peu plus, tous les pouvoirs effectifs et où chaque pays représentés, n'a plus de réel lien avec la représentation de l'individu et ce que cela implique en matière de véritable respect humain, ex; ("Droits de l'homme")."L'harmonie de toutes les religions m'intérresse au plus haut point.Il ne s'agit pas simplement de donner naissance à une simple religion, mais plutôt de créer une perspective religieuse universelle, par laquelle toutes les cultures, toutes les religions et toutes les races pourront s'interconnecter." Leland Steward, Président du Conseil de l'Unité dans la Diversité, créé par une initiative de l'assemblée Générale de l'ONU en 1965;


ONU

CECI...                                              ET                                 CELA                                       

Il est logique en conséquence, d'imaginer aisémment que s'effectuera la même chose, en matière de Croyance; (surtout que l'on peut voir dans chaque religions des divergeances de considérations, un éclatement de la cellule religieuse, des divisions) et ce, de manière complètement calquée, imbriquée avec le mouvement social/politique; en conséquence on ne peut s'empêcher de penser que probablement une bonne partie de l'humanité se laissera séduire pour une fusion..: le but; l'aplanissement des barrières génantes (grâce à la dispersion, confusion), (politico-religieuses), et ensuite "tout lisser, recondenser", afin de ne rien laisser au hazard, pour former ce nouvel Ordre Unique globale...qui aura une incarnation, quelqu'un à sa tête, (qui existe déjà dans de humbles débuts pour l'instant et que je ne nommerais pas; ce n'est pas le but précis de cet article). Oui, mais attention, une fois passer le contexte de la phase de séduction proposant une Paix aux nations et aux élites petites et grandes,(étant donné que les peuples n'en peuvent plus de ce que "les puissants" leurs font subirs; les guerres, le chantage, la précarité, la faim, les discriminations; toutes formes d'injustice) ect..., elles accepteront pleine d'espoir; d'autant plus que leurs religions ne seront pas de suite "élaguées", et que les dirigeants religieux évidemment  acquiesceront cette forme de Paix. Ensuite ce sera la deuxième phase; pour instaurer et enraciner fermement une paix mondiale (de par l'homme), ce sera tout concilier "de gré comme de force"...(gare aux pacifiques, aux lucides qui n'aprouveront pas)....et le plus "rigolo" c'est que le "spectre" de cette Paix (qui sera tant espérée) sera de toute façons instaurée par les mêmes fibres des puissances dirigeantes humaines, qui auront dans le passé proche et lointain amenées le désordre, provoquées la confusion, les conflits, guerres...  Mais alors..... qu'elle sera cette nouvelle religion? Et bien une religion que l'on pourrait nommer maintenant.... "celle qui dominera toute les autres" et conciliera tout le reste, aussi bien (la puissance technologique hyper élaborée, que l'on commence à rencontrer et réellement découvrir partout de nos jours,(alors qu'elle est super au point depuis la deuxième guerre mondiale, en Amérique bien sûr) et qui influe sur les comportements)...ce sera comme une forme d'incarnation si vous voulez. Ce sera celle qui existe déjà....à l'état de petits cocons, on pourrait lui donner le nom de; "la religion de la Nouvelle Paix, du Renouveau, mais elle a déjà un nom..."Nouvel Age" en américain; New Age!! Pourquoi ce... "New Age" Mondial semblera supplanter de manière subtile, et facile dans un premier temps,tout les autres dogmes? Tout simplement parce qu'il incarne la conséquence logique de toutes les "tentacules" liées les unes aux autres,à un corps commun, dont elle est issue... car il est immiscé dans presque tout ce qui fait tourner le monde de nos jours, il a l'apparence de plusieurs visages, vous savez un peu comme Apollon ce dieu grec à personnalité multiple, qui semblait absorber plusieurs autres divinités en lui,
(un genre de morphing), c'est un système multiforme qui s'adapte à tout...au recto; il peut être la femme sans reproches,"parfaite", la mère honorable, et en même temps, coté verso, si j'image bien; être "la" pire des prostituées-criminelles abreuvée de sang"!
Ce sera très difficile pour beaucoup de posséder un véritable discernement..(déjà que ce n'est pas facile aujourd'hui), mais une chose; "on peut voir l'arbre aux fruits" au cours d'une vie.

La "religion", le mouvement "New Age", se définit dans une mystique-spiritualité. Ce n'est pas du tout une organisation, ni une secte, ni une définition politique ni une définition religieuse, ni une philosophie,  dans le sens ou elle ne s'affiche pas comme telle, disons qu'il faudrait essayer de la définir autrement pour bien faire; un courant diffus qui peut-être TOUT et rien à la fois.. 
C'est ce que nous allons voir...dans un autre article (voir; "Le Nouvel Age" de l'Odre Mondial)






SVP: en cours d'édition
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29 mars 2009 7 29 /03 /mars /2009 05:14

Voici quelques textes extraits du site juif.org :


Le R
astafari, philosophie née en Jamaïque, s’inspire de la Bible. Ces adeptes se disent « enfants d’Israël », ils arborent étoiles de David, parlent de Sion, des douze tribus d’Israël et de l’Exode, symboles de liberté.

En novembre 2005, au Zénith à Paris, devant cinq mille personnes, le célèbre reggaeman Alpha Blondy interprétait son tube Jérusalem. « Baroukh ata Adonaï. Baroukh aba Yerushalaïm. Jérusalem, je t’aime… » Curieux endroit qu’un concert de reggae pour célébrer la Ville sainte. Et pourtant…

Alpha Blondy trouve son inspiration dans les principes du rastafari et dans la Bible. Il porte fièrement une étoile de David au poignet et transmet depuis vingt-cinq ans le message universel de la philosophie rasta tout droit venue de Jamaïque. « Les connexions entre le reggae, le rastafari et le judaïsme sont nombreuses et profondes. Bob Marley disait : “Les rastas sont une des douze tribus d’Israël éparpillées à travers le monde.” J’aime bien cette vision spirituelle », confie-t-il. Alpha Blondy, frère spirituel de Bob Marley, est le père du reggae africain. En 1985 sa quête de Dieu le mène en Terre sainte : « Jérusalem est un livre vivant. Elle a changé ma vision spirituelle. Voilà pourquoi j’ai souvent été taxé de “sioniste” alors que la politique ne m’intéresse pas. » Ses albums Jérusalem et Elohim symbolisent le mariage des cultures. Alpha Blondy chante l’amour dans le monde et en Israël où il rêve de donner un concert pour la paix. Dans son disque, Yitzhak Rabin, sorti en 1998, il pleure l’homme de l’entente perdue et chante la Ville éternelle : « Si Jérusalem se vidait de toute violence, elle serait encore plus sainte. La paix est un impératif. » Alpha Blondy prône une forme d’oecuménisme, dont la Torah, la Bible et le Coran ne seraient qu’un seul livre. « Dieu n’a pas de religion, chacun l’adore comme il veut. Il est un grand démocrate. » À l’image du rastafari, Alpha Blondy se veut universel et défend la solidarité entre Noirs et Juifs. « Pour avoir été frappés avec les même bâtons, des liens se sont créés. Le peuple juif est notre allié. Lui aussi a connu la morsure de l’injustice et de l’humiliation. » Le reggae, vecteur de la philosophie rasta, est fortement impregné des textes de la Torah et des Psaumes. Idéologi syncrétique née dans les années 1930, le rastafari s’est inventé sa propre identité en puisant à la fois dans ses racines africaines et dans la Bible. Ses adeptes se nomment eux-mêmes les enfants d’Israël. Il compte cinquante mille pratiquants en Jamaïque et plusieurs millions dans lemonde..


La révélation

Au début du XIXe siècle, Blancs et Noirs vivent séparés en Jamaïque et, malgré l’abolition de l’esclavage en 1834, la population noire vit dans des conditions déplorables. Le rastafari et la musique reggae vont s’enraciner dans ce terreau de pauvreté et de violence. Colonisés par les Anglais, privés d’histoire, acculturés et méprisés par l’Église catholique, les Noirs de Jamaïque sont peu à peu admis par l’Église baptiste, défenseur de la liberté religieuse. Après des siècles d’aliénation, les Noirs jamaïcains ont soudainement droit à une forme de culture et chantent le gospel. Hélène Lee, auteur du livre Le Premier Rasta (Flammarion), explique que « les Noirs sont frappés par la Bible où l’on raconte l’histoire d’un peuple esclave en Égypte, affranchi grâce à l’intervention divine. Pour eux, c’est une révélation ». Peuple d’anciens esclaves, les futurs rastas se reconnaissent naturellement dans le peuple d’Israël. Pour Abdoulaye Barro, fondateur de l’association JUAF (Juifs et Africains) et directeur de la revue Aleph Beth, « le peule juif est un modèle pour le peuple noir auquel il s’identifie. Les Noirs ont aussi pris une revanche. Les missionnaires évangélistes voulaient coloniser et asservir les esprits des Jamaïcains par la religion, mais les Noirs l’ont utilisée pour s’affranchir et inventer leur propre pensée. Le rastafari est juste un mouvement inspiré de la Bible, dont la portée est universelle et libératrice. »


La Bible de l’homme noir

À tous ceux qui rejettent l’« hypocrisie » des religions, le rastafari propose une alternative. Il remet en question la Bible occidentale et donne une interprétation radicalement différente de celle que leur imposaient les Blancs. Parmi les textes qui fondent la théologie rasta, la Holy Piby, publiée en 1924 aux États-Unis par le révérend Rogers. Cette « Bible de l’homme noir », inspirée de l’Ancien Testament, du Talmud et du Coran, rend aux Africains leur place dans l’Histoire. Cette vision afrocentriste réfute l’idée du Messie blanc imposée par les colons chrétiens. Les rastas s’inventent donc une théologie noire avec un Dieu à leur image.

Le reggae, crée par B. Marley, est le vecteur de la phillosophie Rastafi. Pour eux, « Samson était un dreadlocks / Le roi David était un dreadlocks / Moïse était un dreadlocks / Moïse a mené les autres dreadlocks hors d’Égypte / À une époque où le seul chauve était Pharaon », chante le reggaeman Dillinger. L’historien Cheikh Anta Diop publiera dans les années 1950 des recherches essentielles pour l’afrocentrisme. Selon lui, les pharaons étaient noirs, tout comme Moïse, marié à une princesse noire, et les Juifs. Focalisé sur un hypothétique retour en Afrique, le rastafari va se structurer autour de la prophétie de Marcus Mosiah Garvey. En 1929, ce jamaïcain militant prédit l’avènement sur le trône d’Éthiopie du jeune Ras Tafari Makonnen, connu sous le nom e Hailé Sélassié. « Il est bien le Messie noir annoncé, porteur de bonnes nouvelles pour la diaspora africaine. Il est leur rédempteur, celui qui les sauvera et les ramènera en Afrique », précise Abdoulaye Barro. Par le biais du rastafari, ce roi soude le peuple jamaïcain et les rastas deviennent une communauté à part entière. Pour eux, il est le descendant de Ménélik I, fruit des amours légendaires du roi Salomon et de la reine de Saba. « Jérusalem a une grande dimension spirituelle pour les rastas. C’est un symbole, confirme Alpha Blondy. Même s’ils n’ont jamais vu Israël, c’est gravé dans leur subconscient. » En plein éveil du rastafari, précise Hélène Lee, « on découvre en Éthiopie l’existence de Noirs qui pratiquent le judaïsme. L’histoire des Falashas accentue le mythe rasta et fascine ses adeptes ». Certains rastas vont même jusqu’à revendiquer leur judéité, bien qu’ Israël ne les reconnaît pas. Ils épousent le mythe des tribus perdues qui se seraient égarées dans des îles des Caraïbes, en passant par l’Éthiopie. Les rastas ont par ailleurs des rites proches des religions sémitiques : le porc et les crustacés sont interdits, les femmes se couvrent les cheveux, sont impures pendant leurs règles, et les hommes portent les dreadlocks, « une version afro des papillotes juives orthodoxes », selon une expression du journaliste Paul Moreira. Une coiffure souvent comparée à la crinière du lion sacré de Judas.


Proches du mouvement sioniste

Les rastas éprouvent aussi à cette époque une grande sympathie pour les sionistes. Nationalistes, ils se sentent proches de leur combat, « centré lui aussi sur une identité religieuse », explique Bruno Blum, auteur de Bob Marley, le reggae et les rastas (Hors collection). Mais les rastas situent leur Terre promise en Éthiopie, le berceau de l’humanité ; dans les Saintes Écritures, une terre de liberté qui n’a jamais été colonisée. Elle est symbole de résistance à Babylone, l’Angleterre coloniale, fille de l’impérialisme occidental. Babylone, cité biblique de toutes les perversions, symbolise l’ordre social oppressant pour lequel les rastas éprouvent une profonde aversion. Le « retour » en Éthiopie devient une obsession. À l’image des premiers habitants d’Eretz, ils veulent quitter Babylone pour rentrer dans le pays de Jah (un des noms hébreux de Dieu). C’est pourquoi, dés les années 1930, Marcus Mosiah Garvey va fonder une compagnie maritime, la Black Starline, pour rapatrier ses frères vers l’Afrique. Un rêve resté en suspens faute d’argent.« Cette démarche ressemble beaucoup à celle des sionistes avec l’odyssée de l’Exodus », poursuit Bruno Blum.


Proximité culturelle

Le rastafari, qui se veut universel, a su sortir des ghettos de Kingston grâce au reggae. En retour, il a fait de cette musique un véritable langage de paix, dans lequel chacun peut chanter Dieu, quelle que soit sa foi. Le chanteur américain Matisyahu, originaire de Brooklyn, à New York, a réussi un mariage inédit entre les cultures juive et rasta. Vêtu d’un costume hassidique traditionnel, Matthew Miller, de son vrai nom, chante la venue du Messie et la grâce divine à la manière de Bob Marley. C’est en étudiant dans une yéshiva en Israël que Matisyahu comprend les liens entre rastafari et judaïsme. « Il y a de nombreuses connexions culturelles. Les rastas descendent de Salomon et de la reine de Saba, c’est une tribu perdue, ils suivent les mêmes rites que nous, fondés sur l’Ancien Testament. Le reggae, c’est la musique des esclaves. » La culture rasta et le reggae l’ont aidé, dit-il, à redécouvrir ses racines juives et à renouer avec sa foi. « Ma musique sert à porter la parole de Dieu à travers le monde. » À New York, les religieux ont décidé de le soutenir malgré une vive polémique. Mais, là où le rastafari croit en Hailé Sélassié, Matisyahu célèbre Dieu et la reconstruction du troisième Temple. La plupart de ses textes sont en anglais, ponctués d’hébreu. Dans King without a Crown (Roi sans couronne), il implore avec force la venue du Messie. Le message de Dieu sur fond de musique reggae, comme un nouvel épisode dans la relation entre pensée juive et rasta. Entre inspiration réciproque et foi partagée.

Rebecca Assoun


Reggae phobie

Sexisme, racisme anti-Blancs et appels au meurtre des homosexuels… Aujourd’hui, certains chanteurs de reggae comme Capleton, Tony Rebel ou Sizzla prônent sans détour la violence dans leurs textes. Résultat ? Des concerts annulés l’été 2005 et un coup dur porté au message de paix chanté par Bob Marley. « On est loin du reggae tranquille, cool, lent, libérateur, hypnotique, raffiné et psychédélique des années 1970 », déplore Bruno Blum. Comment une musique de tolérance et de respect comme le reggae, inspirée par le rastafari, peut-elle servir de tremplin à la haine ? En Jamaïque, de nombreux artistes reggae s’inspirent des Bobo Ashanti, une communauté rasta rurale et marginale fondée en 1958. « Ces fondamentalistes prônent une vie rigoriste, vivent dans la nature et lisent la Bible tous les jours où ce violent délire homophobe prend racine », poursuit le spécialiste. Mais en Jamaïque « les rastas n’ont pas l’exclusivité des travers homophobes, machistes, bigots et parfois racistes. La population, très pieuse, est ignorante. Les gens vivent dans la misère et se réfugient dans la religion sans doute d’une mauvais manière ». L’homosexualité est passible de prison allant jusqu’à dix ans. En 2004, au moins trente homosexuels ont été assassinés. Toutefois, rappelle Bruno Blum, face à un message rasta dévoyé, « beaucoup de rastas, moins enfermés sur leur communauté et ses dogmes, souvent européens, dénoncent ces dérives qui risquent, à court terme, de discréditer toute la musique jamaïcaine et le rastafari 


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  • : Eva est une femme de paix, de consensus, s'opposant au "choc de civilisations", prônant la tolérance, le dialogue et même la communion de civilisations. Elle veut être un pont fraternel entre les différentes religions monothéistes. Elle dénonce les fondamentalismes, les intégrismes, les communautarismes sectaires et fanatiques, repliés sur eux, intolérants, va-t-en-guerre, dominateurs, inquisiteurs, haineux, racistes, eugénistes, impérialistes.
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